Contrairement aux restrictions auxquelles sont soumises par exemple les entreprises de la restauration, les notaires ne sont pas en droit d’exiger de leurs mandants une quelconque preuve de leur statut vaccinal ou du résultat d’un test récent. Au contraire, les offices notariaux doivent permettre une accessibilité facile pour les personnes à la recherche de conseils juridiques et prendre les mesures adaptées afin que les rendez-vous puissent avoir lieu de la façon la plus simple possible.

La Chambre Fédérale des Notaires allemands recommande la mise en œuvre de purificateurs d'air

La Chambre Fédérale des Notaires indique dans ses recommandations que des moyens éprouvés sont disponibles pour réduire de façon significative le risque d’infection dans les offices notariaux : le port du masque, l’adaptation des processus organisationnels et la mise en œuvre de moyens techniques comme, par exemple, les purificateurs d’air.

Risque élevé de contagion par le coronavirus au cours des séances notariales

Le nombre croissant des demandes d’actes notariés est inévitablement une source d’augmentation du risque de contagion en période de Corona dans les offices notariaux. Cela commence à la réception, où les mandants sont accueillis et où les grosses gouttelettes, mais aussi les minuscules aérosols produits lorsque les paroles sont échangées peuvent être source de contagion. Une protection des collaboratrices et collaborateurs à la réception peut être assurée par des parois de séparation transparentes avec cadre de protection anti-aérosols, qui empêchent la transmission des gouttelettes tout comme la propagation incontrôlée des aérosols infectieux.

De même, dans le bureau notarial, le notaire et le mandant sont soumis à un risque élevé de contagion. Le danger d’infection par gouttelettes peut être, là aussi, réduit par la mise en œuvre de parois séparatrices ou le respect des règles de distanciation. Toutefois, surtout lorsque l’entretien dure longtemps, le problème ne réside pas dans le fait de produire des grosses gouttelettes en parlant, mais bien dans les minuscules particules d’aérosol qui flottent dans l’air, invisibles.

Un autre point en faveur de la mise en œuvre de purificateurs d’air mobiles dans les études notariales : le bien-être personnel de tous les participants. Il n’est pas rare que les rendez-vous chez le notaire aient des raisons profondément personnelles, dont l’évocation requiert un cadre de calme et de confiance. C’est pourquoi il est indispensable de réduire les sources de bruit afin de ne pas influencer négativement l’ambiance de l’entretien. L’ouverture des fenêtres, dans le but d’aérer la pièce, n’est pas toujours d’une grande aide. Et l’aération devient encore plus difficile en hiver avec des températures proches de zéro. La température de la pièce diminue alors inexorablement avec chaque aération par la fenêtre. Et les coûts de chauffage explosent. Sans parler de l’influence désastreuse sur le bien-être d’une ambiance trop fraîche dans la pièce. La mise en œuvre d’un purificateur d’air hautes performances mobile permet, en comparaison, de réduire les périodes d’aération, sans perdre de vue la protection de la santé des collaborateurs comme des mandants.

Bon à savoir : les purificateurs d'air intensifs modernes tels que le TAC V+ purifient l’air presque sans faire de bruit. Avec un niveau sonore d’à peine 31 dB(A), un purificateur d’air TAC n’est pas plus bruyant qu’une montre-bracelet, alors que le bruit de la circulation peut atteindre des niveaux sonores allant jusqu’à 65 dB(A).

Voilà pourquoi, dans un grand nombre d’études notariales et de cabinets d’avocats, les purificateurs d’air hautes performances TAC sont mis en œuvre depuis l’arrivée de la pandémie afin de protéger du mieux possible l’équipe de l’étude ou du cabinet comme les mandants de la transmission par l’air du Coronavirus.

Une efficacité démontrée pour la protection contre l’infection indirecte par le coronavirus

Des études scientifiques confirment l’efficacité élevée des purificateurs d’air hautes performances Trotec dans la prévention de la contagion indirecte par le coronavirus, en premier lieu les études remarquées du professeur Christian Kähler. L’expert munichois en aérosols a réussi à prouver, dans le cadre de ses recherches, qu’un purificateur d’air hautes performances TAC V+ était en mesure, dans les pièces fermées, de réduire en un temps record à un niveau pratiquement sans risque la charge en virus de l’air ambiant.